Un Allemand qui visite la Wallonie s'arrête à coté de deux types qui
attendent un bus.
"Entschuldigung, koennen Sie Deutsch sprechen ? " Demande-t-il.
Les deux Wallons le regardent en silence.
"Spreekt u misschien Nederlands ?" Les deux Wallons ne bougent pas...
L'Allemand essaie alors "Sorry, do you speak English ?"
Les deux autres continuent à le regarder.
"Parlare Italiano ?" Pas de réponse.
"Habla ustedes Espanol ?" Toujours rien.
L'Allemand hoche alors la tête d'un air dégoûté et s'en va.
Le premier Wallon dit alors à l'autre :
"Tu ne crois pas qu'on devrait quand même apprendre une langue
étrangère?"
"Pourquoi ?", répond l'autre "ce type en connaissait cinq et ça ne lui a
servi à rien !"
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L'histoire
suivante est malheureusement ? Véridique (ceux qui veulent la
vérifier peuvent s'adresser aux affaires maritimes canadiennes, l'incident
s'est passé en octobre 1995).
+Transcription d'une communication radio entre un bateau de la US Navy et
les autorités canadiennes au large de Newfoundland :
* Américains : Veuillez vous dérouter de 15 degrés Nord pour éviter une
collision. A vous.
* Canadiens : Veuillez plutôt vous
dérouter de 15 degrés sud pour éviter une collision. A vous.
* Américains : Ici le capitaine d'un navire des forces navales américaines. Je
répète : Veuillez modifier votre course. A vous.
* Canadiens : Non, veuillez dérouter, je vous prie. A vous.
* Américains : ICI C'EST LE PORTE AVIONS USS LINCOLN, LE SECOND NAVIRE EN
IMPORTANCE DE LA FLOTTE NAVALE DES ETATS-UNIS D'AMERIQUE. NOUS SOMMES
ACCOMPAGNES PAR 3 DESTROYERS, 3 CROISEURS ET UN NOMBRE IMPORTANT DE NAVIRES
D'ESCORTE. JE VOUS DEMANDE DE DEVIER DE VOTRE ROUTE DE 15 DEGRES NORD OU DES
MESURES CONTRAIGNANTES VONT ETRE PRISES POUR ASSURER LA SECURITE DE NOTRE
NAVIRE A VOUS.
* Canadiens : Ici, c'est un phare. A vous.
* Américains:silence.
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Après une fête extrêmement arrosée, un gars se réveille dans
son lit avec un sérieux mal de crâne. Sa femme n'est pas à côté de lui, mais il a été bordé comme un bébé, avec amour. Lorsqu'il se lève, il se rend compte que ses habits ont été lavés, repassés, et posés de manière impeccable sur une chaise.
Incrédule, il s'habille, et rentre dans la cuisine, pour y trouver son bol de
café prêt à l'emploi, et une superbe rose sur la table avec un petit mot marqué
"je t'aime, mon bébé".
Le gars ne comprend vraiment pas,
d'habitude, sa femme est plutôt furieuse de le voir sortir le soir, et sort le
rouleau à pâtisserie lorsqu'il rentre dans cet état. Prudemment, il va voir son
fils et lui demande: "euh... excuse-moi mais... tu sais, hier, je suis
rentré tard et..."
"Ah ouais" fait le fils,
"même que tu t'es cassé trois fois la gueule dans les escaliers, et que tu
as fait tomber tous les pots de fleurs que maman avait mis près du paillasson.
Meeeerde, se dit le gars, elle y
tenait beaucoup, à ses fleurs.
"Et c'est tout ce que j'ai fait?"
"Non non, tu as frappé comme un fou à la porte parce que tu ne trouvais plus tes clés, et elle a été obligée de t'ouvrir et de calmer les voisins, à 5h du mat"
"Quoi ? Oh, bon sang, elle a dû être folle de rage ! Et je me suis couché,après ?"
"Non, tu lui as d'abord gerbé dessus. Elle n'était pas contente, elle avait sa nuisette rouge, et tu l'as complètement bousillée"
Le mec est complètement affolé.
"Quoi ? J'ai fait ça ? Mais c'est pas possible ! Attends, mais si j'ai vraiment été aussi terrible, pourquoi est-ce qu'elle a l'air d'être aux petits soins pour moi, ce matin ?"
"Ah, ça ? C'est parce qu'elle a essayé de te déshabiller pour te mettre au lit, et que tu lui as gueulé dessus: "Laisse-moi tranquille, salope, chuis marié."